Mis à jour le 17.10.2016

Espagne : monographie du dolmen de Soto

Icône actu internationale Dans la série Arqueología Monografía, la Junta de Andalucia a publié en 2018 une vaste monographie intitulée « Simbolos de la muerte en la Prehistoria Reciente del sur de Europa. El Dolmen de Soto, Huelva. España ».

Les quatre éditeurs scientifiques sont des universitaires espagnols, Primitiva Bueno Ramirez de l’Université d’Alcalá, José Antonio Linares Catela, Université d’Uelva, , Rodrigo De Balbin-Behrmann, Université d’Alcalá et Rosa Barroso Bermejo. Au total une quinzaine d’auteurs ont pris en charge les 14 chapitres de l’ouvrage, préfacé par Jean Guilaine. Il s’agit d’une nouvelle analyse d’un des plus vastes monuments mégalithiques d’Espagne, publié par H. Obermaier dès 1924.

386 p., 21 x 30 cm, ISBN: 978-84-9959-316-6

Ci dessous le résumé espagnol proposé par les éditeurs, suivi de sa traduction automatique :

El dolmen de Soto es uno de los mayores monumentos megalíticos de Europa. Fue publicado por H. Obermaier en 1924 y casi cien años después, este volumen presenta la primera documentación gráfica sobre sus soportes, incluyendo análisis de pigmentos y dataciones del contexto arqueológico interno y externo del sepulcro. Su arquitectura es el resultado de las transformaciones de un centro ceremonial en un gran monumento megalítico a principios del IV milenio cal BC.. Desde el Neolítico al Bronce Final, generación tras generación, las imágenes de las paredes del dolmen de Soto perpetúan en el sepulcro de los ancestros sus nexos con el pasado.

Le dolmen de Soto est l'un des plus grands monuments mégalithiques d'Europe. Il a été publié par H. Obermaier en 1924 et près de cent ans plus tard, ce volume présente la première documentation graphique sur ses supports, comprenant une analyse des pigments et une datation du contexte archéologique interne et externe de la tombe. Son architecture est le résultat des transformations d'un centre cérémonial dans un grand monument mégalithique au début du IVe millénaire avant J.-C. Du néolithique au Bronze final, génération après génération, les images des murs du dolmen de Soto se perpétuent dans le sépulcre des ancêtres leurs liens avec le passé.